L'associu Sulidarità dénonce de nombreux incidents entre détenus nationalistes et certains gardiens de la prison de Borgo. Dans un communiqué elle souligne les méthodes employées par ces gardiens à l'encontre des détenus.
Des incidents à répétitions entre les détenus nationalistes et certains membres de l’administration pénitentiaire.
Des tee-shirt sur lequels sont inscrits "sulidarita.org" qui déplaisent.
Un surveillant gradé qui aurait menacé Charles Santoni de sanction si des membres de sa famille revenaient à un parloir avec ce type de vêtement
Tout cela est dénoncé dans un communiqué par l'Associu Sulidarità qui précise néanmoins que pour le dernier exemple cité, le surveillant aurait été déjugé par la sous-directrice de
l’établissement.
Sulidarità cite encore l'exemple de ce détenu qui aurait refusé une fouille au corps. Résultat?
Une mise mitard.
Mais cela n'a pas été du goût des autres détenus qui, en signe de solidarité, auraient demandé, à leur tour, à le rejoindre.
Pour toutes ces raisons, Sulidarità qui refuse que les détenus "soient traités comme des chiens", demande à la direction de la prison de Borgo de trouver toutes les solutions qui mèneront
sur les voies de l’apaisement et rappelle que "l’Etat Francais a été très souvent condamné par l’Europe pour les fouilles au corps".
Écrire commentaire