Ce n'est sans doute pas la première fois que la Corse est présente au Salon international du Patrimoine du Louvre. Et cette année encore la présence du stand de la collectivité territoriale n'est pas passé inaperçue à l'heure de l'ouverture du Salon à ses premiers invités. Il est vrai que le buffet dressé par Barbat, qui représentait une partie du patrimoine - celui-là culinaire- qui caractérise notre région valait à lui seul tous les déplacements.
Mais à l'heure où Paul Giacobbi précisait les raisons qui avait présidé à la présence de la Corse, par le truchement de la CTC, à cet événement d'envergure internationale - voir notre vidéo - le message à faire passer se situait bien au-delà de la pression qui s'exerçait autour du buffet...
D'ailleurs avec deux conférences* - dont l'une dès l'ouverture de la journée au public - l'équipe de Jean-François Kremer-Marietti, directeur de la culture et du patrimoine de la CTC, mobilisée pour la circonstance avait fait fort bien les choses.
En tout cas elles ont amené leurs auditoires sur le chemin de l'Histoire et de la vie contemporaine de l'Ile à travers son patrimoine d'hier et celui qu'elle se construit aujourd'hui.
Encore une belle façon de promouvoir la Corse autrement que par ses plages et ses sites touristiques les plus connus, même si sont eux les reflets les plus visibles de la beauté de notre île.
* La première animée par le spécialiste de l’architecture fortifiée de l’époque française, Christian Corvisier et intitulée : « La place forte de Corte : citadelle contre ville
haute. Un siècle de "bras de fer" entre le génie militaire français et les habitants de l'ancienne capitale de la Corse indépendante, 1769-1860;» -
La seconde, menée par le directeur du centre méditerranéen de la photographie, Marcel Fortini sur " La notion d'urbanité et de patrimoine dans les collections du Centre Méditerranéen de la
photographie".
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